


Cercle des Descendants et amis
des Vétérans français du Front de l'Est
(1941-1945)
Défense de leurs intérêts
matériels et moraux

INFORMATIONS - EXPOSÉS - RECHERCHES / Individuelles
Présentation partielle, mais d'aide à la prise de contact au profit des familles et amis des volontaires français de la Wehrmacht et de la Waffen-SS
et des chercheurs loyaux en sciences humaines.
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(A l’attention aussi : de nos justiciers vindicatifs et de la plupart des partisans déloyaux. Et par notre expérience,
des nombreux "enquêteurs" perfides , "historiens", "journalistes", "documentaristes" diplômés ou autoproclamés,
généralement malintentionnés ; tout comme les flagorneurs cupides opportunistes.
A l'attention également des versatiles de l’opposition contrôlée, prisonniers in fine d'une doxa judiciarisée,
à défaut de ne plus avoir le droit de cité, s’ils dévoilent la réalité factuelle, objective, qui annihile la vérité imposée, subjective.)
La magnanimité et la mansuétude qu'exprimaient peu ou prou nos Pères,
vétérans de la Wehrmacht et de la Waffen-SS, et en guise de postulat :
[…] à tous les martyrs des errements humains.
Bien sûr, en premier, à mes camarades de toutes les nationalités, morts dans la lutte contre le bolchevisme, mais aussi aux malheureux que nous combattions et qui y étaient obligés.
Et puis à ceux qui sont morts ou rescapés des camps de concentration soviétiques ou allemands et autres lieux de détentions, pour être nés juifs ou avoir pris des options contraires à leurs bourreaux.
Bien entendu, à tous ceux qui se sont sacrifiés pour tenter de remédier à ce qu’ils considéraient comme un danger pour l’humanité et qui y ont laissé leur vie.
D’une façon générale, à tous ceux, morts ou victimes d’un idéal qu’ils concevaient juste.
Enfin, aux héritiers de vaincus, victimes expiatoires des actions de leurs aînés.
Je laisse ceux des vainqueurs à leur conscience et à la relativité de ce qu’ils ont reçu à leur crédit. […]
François BRZ de LNR (1926-2006)
Uscha. de la division "Charlemagne" et vétéran du bataillon d’assaut à Berlin.
Dont la famille est elle aussi escroquée par des flagorneurs duplices, voleurs d'un manuscrit falsifié pour une édition illégale.
(Frère d’Henry, vétéran de la LVF, blessé lors de l’hiver 1941 devant Moscou et fils de François, responsable du recrutement breton pour la Waffen-SS.)
Le monde s’est fait à coup d’épée.
La violence est la matrice des sociétés.
Le guerrier ne fait que porter l’épée pour le compte des autres.
Son métier reste un métier de seigneur, parce que le guerrier accepte encore de mourir
pour des fautes qui ne sont pas les siennes, en portant le poids des péchés des autres.
Et il n’en reçoit pas toujours la récompense.
Alexandre Sanguinetti (1913-1980),
Histoire du soldat. De la violence et des pouvoirs, 1979.
Pétainiste, puis gaulliste, ancien ministre.
Faudrait-il encore que les réels vainqueurs de la Seconde guerre mondiale - qui ne sont pas effectivement les Soldats - soient des hommes loyaux...
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EN EFFET, LA PERENNITE DE L A DAMNATION TRIBALE DE NOS FAMILLES,
NOUS REVELE EN REVANCHE LES PREUVES MODIFIEES ET SOUSTRAITES
DE LA VERITE IMPOSEE ET DE LA REALITE FACTUELLE
DE LA SECONDE GUERRE MONDIALE.
Par rétrospective holistique, étant poursuivis et frappés perfidement d'indignité nationale - parfois à notre insu - pour forfait de filiation,
nous n’avons qu’un sentiment, c’est un immense dégout.
Dégout des parades de la culpabilité des vainqueurs de nos Pères, qui nous permettent en revanche de distinguer l’infamie et la noblesse. Ecœurement d’avoir été trompés par ceux que nous avons pourtant servis loyalement,
selon la conception naïve et chevaleresque insufflée par nos Pères, vétérans de la Waffen-SS.
Puisque les suppôts administratifs et judiciaires du « camp du bien » autoproclamé, nous responsabilisent des crimes supposés imposés à nos Pères, nous jetons nos ordres nationaux et autres décorations, nos galons et nos sabres à la face de ces misérables et pitoyables justiciers, falots.
En revanche, devant cette haine révélatrice, nous assumons alors avec fierté les Croix de fer ou du Mérite et autres médailles d’assaut prestigieuses de nos Pères, décernées par cet héritage « damné », rédigé dans les fiches d’enquêteurs aux ordres de ces minables.
Cette dynamique de harcèlement tend à confirmer que les chantres de l’histoires officielle de la Seconde guerre mondiale,
n’ont pas bonne conscience et n’ont pas d’autres arguments que les mensonges sur nos Pères et maintenant sur leurs descendants !
(Mais qui a le mérite, répréhensible, de nous faire découvrir les dessous de supercheries
et avec le temps, la mise au jour de ce qui nous est tenu intentionnellement dissimulé.)
Et quand nous considérons : ce "camp du bien" de nos justiciers, avec leurs quatre-vingts années de victoire,
pour la dégénérescence programmée de nos sociétés occidentales, par rapport à l’excellence de la conception du monde de nos Pères,
durant leur existence, tout un chacun ne peut que donner du crédit aux témoignages de nos vaincus. L’histoire a déjà jugé, ce que l’actualité valide.
Les Français peuvent débattre absolument sur n’importe quel sujet, aussi excentrique, aussi incroyable, aussi abominable soit-il et en l’occurrence sur n’importe quelle période de l’histoire des Hommes, sauf... sur la Seconde guerre mondiale.
Les descendants et amis des vétérans FRANCAIS DE LA WEHRMACHT ET DE LA WAFFEN-SS, ont donc été instruits avec une vérité imposée sur ce conflit - irrationnellement judiciarisée depuis 1990 - et sans que nos aïeux n’aient propagé aussi péremptoirement leur propre expérience sur les faits incriminés.
En revanche, il est anthropologiquement intéressant de rapporter la réalité des faits revendiquée sereinement par nos Pères.
Elle se trouve en partie assez formidablement synthétisée dans :
Dites la vérité et vous humilierez le diable / Tell the Truth and Shame the Devil.
Sachez reconnaître le véritable ennemi et rejoignez-nous pour le combattre / Recognize the True Enemy and Join to Fight Him,
par Gérard MENUHIN en 2016. Fils du violoniste virtuose juif, le baron Yehudi MENUHIN et de la ballerine Diana GOULD. Petit-fils de Moshe MENUHIN, auteur et militant, issu d’une famille juive lithuanienne. Gérard MENUHIN descend de la lignée du rabbin Shneur ZALMAN de Liadi, le fondateur de l’hassidisme Chabad, ainsi que du rabbin Levi YITZCHOK de Berditchev. Comme un certain nombre d’autres de ses congénères et comme nos Pères, il conteste la vérité imposée de l’histoire de la Seconde guerre mondiale, au profit de la réalité factuelle.
En effet, que se cache-t-il derrière la version officielle de cette guerre, pour qu’une loi impose ce qu’il faut penser sur nos soldats vaincus
et surtout aujourd'hui, pour que l’on pérennise leur diabolisation, à travers notre damnation transcrite en tant que descendants identifiés ?
Ces modestes articles sont une réaction à cette traque perfide de nos justiciers pusillanimes ;
ce qui en dit très long sur une guerre qui n'en finit pas et dont la version victimaire en permet tant d'autres...
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Mise à jour : 6 - Névrose de descendants de "Waffen-SS" - Réactions aux tourments existentiels de Français qui ignorent les raisons de l’engagement d’un parent dans la Waffen-SS (A partir des conversations publiques et du livre de Priscille CUCHE, Le nazi de ma famille, La Manufacture de livres, 2022).
- L’exécution de Robert BRASILLACH ou ce qu’il serait advenu des vétérans français du front de l'Est… (avec lien).
- Les commémorations militaitres des mois de mai et juin 2024.
- Voeux 2025.
- Référence à l’histoire falsifiée de nos pères,
en Russie, ce 6 juin 2024 -
« Французы, не повторяйте ошибок своих предков, их участь известна… »
« Français, ne répétez pas les erreurs de vos ancêtres… ».
Malheureusement les journalistes du courant dominant de l'Ouest,
rapportent sans contrôles les énormités de l'Est.
--.--
- 80e anniversaire de l’« invasion » du 6 juin 1944-2024 -
« Worldview » et « Weltanschauung »
pour finalement une "conception du monde" très proche, pour des Français hors normes.
Ou,
des hommes qui n’ont certainement jamais combattu pour la transvaluation libertaire contemporaine.
Alors que les justiciers opportunistes du sacrifice des autres, chantres du camp dit du "bien,"
les prennent en otage aujourd’hui, en discours devant les monuments aux morts.
Voir par similitude avec nos Pères : "Ils étaient 177 braves". Reportage émouvant de 1969,
sur l’état d’esprit d’après-guerre, très explicite, des vétérans du commando Kieffer eux-mêmes
(sur leurs considérations exceptionnelles ; leurs exécutions de prisonniers ;
leur amertume à l’égard des vainqueurs ; leur antigaullisme ; etc.) ;
évidemment supprimé des réseaux vidéos publiques !
--.--

Gwen-Aël Bolloré
1re brigade des services spéciaux,
Commando n° 4 de l’armée britannique.
Eric Labat
638e régiment d’infanterie français de la Wehrmacht
et 33e division de la Waffen-SS "Charlemagne".



- Commémorations militaires du mois de mai 2024 -
- Commémoration du "8 mai 1945" -
Armistice des forces Alliées
Un des mensonges fondateurs sur nos Pères
et des mystifications de la Seconde guerre mondiale…
Malgré les affirmations condescendantes des plus hautes autorités françaises et même d’officiers distingués, pourtant juristes de haut niveau, il n’y a absolument jamais eu, en aucun cas, d’armistice pour clore diplomatiquement la guerre de 1939-1945.
Notre confiance n’excluant pas le contrôle, les arguments de nos pères s’imposent comme la réalité factuelle, dérangeante, face à la vérité imposée, arrangeante. Aucun traité de paix n’a donc jamais pu être, ni rédigé et ni signé par quiconque. Ce qui a pour conséquence le refus déterminé des réels vainqueurs, de vouloir clore la Seconde guerre mondiale.
Mais c’est à dessein, afin de diaboliser et de débusquer perpétuellement nos Pères et répertorier leurs descendants, avec ceux qui font preuve de discernement.
Nos justiciers malhonnêtes peuvent toujours revendiquer les différents accords diplomatiques, qui introduisent la réunification de l’Allemagne ou qui valident la fin du pacte de Varsovie.
Aucun de ces documents n’évoque ou ne précise
un « armistice » ou un « traité de paix ».
Pour les arguments des jusqu’au-boutistes du fourvoiement et les historiens de la doxa, concernant les deux traités dits de « Moscou », celui de 1970 n’est qu’une ouverture pour la normalisation diplomatique entre la RFA et l’URSS et celui au titre évasif de 1990, concerne finalement la réunification des deux Allemagnes.
Aucun de ces accords ne mentionne
ni un « armistice », ni un « traité de paix » (1).
(Le socle du disfonctionnement réside aussi dans la création de la RFA et de la RDA, qui n’a pas été ratifiée par les vaincus du gouvernement souverain de Flensburg, qui faisait suite légalement à celui du IIIe Reich et supprimé arbitrairement par les Alliés le 23 mai 1945.)
Que penseront les historiens, dans un futur apaisé, affranchi des mondialistes, de la veulerie et de la compromission de leurs prédécesseurs ?
Mais aujourd'hui, un historien pris soudain d’un repentir salutaire, d’audace et de courage pour exprimer la réalité - tout au moins pour réduire loyalement le delta entre réalité et vérité des évènements - se verrait dans les plus brefs délais et à minima, ostracisé de toute organisation en sciences humaines, exclu des supports médiatiques, privé de subventions, écarté de l’enseignement, conspués par ses confrères les plus médiocres, fébriles pour le déroulement de leur carrière, voire molesté par quelques bas du front et autres justiciers cosmopolites…
(1) Le « Traité de Paris » est signé le 10 février 1947, entre les Alliés et les pays vaincus, à l'exclusion de l'Allemagne !

- Commémoration du 7 mai 1954 -
Fin de la bataille de Diên Biên Phu
Une jeunesse consciemment gaspillée.
Dernière bataille de la Waffen-SS ; n’en déplaise…
André B., comme beaucoup de nos Pères, connaîtra :
- Le front de l’Est/Brigade d'assaut SS française (blessé ici en août 44 en Galicie), puis la "Charlemagne" ;
- Le Struthof, où il sera interné après son jugement ;
- Indochine/B.I.L.O.M - Corée/Bataillon français de l’O.N.U. - Centre Annam/GM 100 - Camps du Vietminh/chute de Diên Biên Phu - Algérie/troupes aéroportées.
A ces affectations, manquerait la Légion étrangère dans laquelle serviront aussi de très nombreux vétérans français du Front de l'Est.
[…] Si prompte à accueillir la misère du monde, la France a abandonné au massacre du Vietminh ses régiments d’autochtones et civils fidèles à la métropole (abandon réitéré en Algérie). Les différences importantes de solde et de pension entre soldats métropolitains et indigènes (comme le capital décès réservé aux seuls métropolitains), n’existaient pas pour nos unités étrangères de la Wehrmacht et de la Waffen-SS. Ni même la ségrégation, telle que le « blanchiment » des unités françaises gaullistes en 1944, déjà supplétives des Etats-Unien et en rapatriant les Africains indésirables.
Alors que notre conception raciale n’est pas contre l’étranger, mais pour notre fortification ; nous souhaitons d’ailleurs aussi que chaque peuple lutte d'abord pour sa bonne santé morale et physique, afin que survive l'identité de son sang et de sa culture. […]
Vétérans français du front de l'Est et d'Indochine.
[…] La Légion n’évoque jamais la nationalité des siens « Legio Patria Nostra ». Mais quoi qu’il en soit, sa force est le guerrier allemand pilier de ses bataillons (1) ; Allemands et Français luttèrent fraternellement unis pendant cinquante-six jours, et cette fraternité d’arme est restée profondément gravée dans sa mémoire comme le symbole d’une réconciliation et d’une union définitive, entre deux grands pays européens. […]
[…] Nous ne combattions pas pour défendre nos foyers,
nous ne combattions pas pour chasser l’étranger de chez nous,
nous ne combattions même plus pour garder l’Indochine à la France.
Alors pourquoi ?
L’honneur du métier des armes et c’était tout. […]
Général Pierre LANGLAIS
Commandant le secteur centre du camp retranché de Dien Bien Phu.
Dien Bien Phu, Éd. France-Empire, 1963. Presses Pocket, 1969
(1) - Comment le gouvernement français a-t-il pu incorporer plusieurs milliers de vétérans de la Wehrmacht et de la Waffen-SS - Allemands, mais aussi de toutes les nationalités européennes - alors qu’officiellement, nos pères sont les plus grands criminels de l’humanité ?
- Il en est de même des très nombreux scientifiques et techniciens du IIIe Reich que la France a choyé avec leur famille, permettant la dynamique des « Trente glorieuses » !
- Pourquoi gendarmes et policiers - qui ont œuvré quant à eux contre des Français - n'ont-ils été aucunement inquiétés, mais honorés ?

Ce qu'affirmaient nos Pères sur ces commémorations :
- La commémoration du 7 mai 1954 est plus que discrète et plutôt dénigrée par le pouvoir politique et les hauts responsables militaires qu’il nomme. Car l’état d’esprit des engagés et des vétérans du Corps expéditionnaire français d’Extrême Orient, dont ont fait partie aussi de très nombreux de nos camarades du front de l’Est, français et étrangers, avaient une vision du monde très proche de notre "Weltanschauung". Et notre sacrifice en Indochine était bien coordonné à la volonté des politiciens et des intrigants, de se débarrasser de cette jeunesse assurément contrariante pour le futur…
- La commémoration du 8 mai 1945, c’est donc la pérennisation de la lutte du vaincu contre le léviathan. Et pour le vulgum pecus béat, son appui "inconscient" au réel vainqueur, qui produit les transvaluations contemporaines.
"[…] Et quand nous voyons ce qu’il y a en face.
Ce que trente ans de victoire des autres ont donné.
Cette anarchie dans le monde, cette débandade du monde Blanc, cette désertion à travers l’univers.
Quand nous voyons dans nos propres pays, la décomposition des mœurs,
la chute de la patrie, la chute de la famille, la chute de l’ordre social.
Quand nous voyons cet appétit des biens matériels qui a succédé à la grande flamme de l’idéal qui nous animait.
Hé bien vraiment, entre les deux, nous avions choisi le bon côté. […]"
Léon DEGRELLE (1906-1994), ancien Standartenführer,
commandant de l'unité belge francophone,
28e division de grenadiers mécanisés de la Waffen-SS "Wallonie".
Fin de l'entretien avec Jean-Michel CHARLIER,
Léon DEGRELLE : persiste et signe, J. Picollec, 1976.
« Quand tous trahiront nous resterons fidèles,
Afin que toujours au monde subsiste un point de ralliement […] »
"Chant de fidélité" (Treuelied), entonné par nos Pères
le jour de leur prestation de serment dans la Waffen-SS
et pour clore leur réunion annuelle notamment au sein de la HIAG.
Le disque, Chansons que nous chantions autrefois, a été enregistré a capella par une cinquantaine de vétérans de la HIAG de Minden, en 1977, (suite à l'impulsion de la grande Kameradenschaft de 09/1976 à Würzburg et en présence de très nombreux Français). Les répétitions se faisaient dans une salle au-dessus d’une brasserie tenue par un vétéran et sous la direction de W. Casselman (1922-2014), Ustuf. Div. "Wiking", "LSSAH". Le plancher qui craquait, a nécessité plusieurs enregistrements.
(Y est chanté l’hymne de la 1/I/58/33 "Charlemagne".)

Ce qui animait nos Pères, vétérans de la Waffen-SS...
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L'une des origines de la dynamique de notre discernement,
dans la complexité et l'adversité :
« [...] Papa, pour que nous soyons encore diabolisés et surtout fichés comme descendants, après plus d'un demi-siècle,
qu’avez-vous fait réellement pendant la Seconde guerre mondiale dans la Wehrmacht et la Waffen-SS ? |...] »
« [...] Au-delà des dénonciations zélées ou comme si vous étiez responsables, c’est aussi parce que nos justiciers craignent que nos enfants - pour les moins asservis - puissent connaître la réalité factuelle. Je vais donc vous la transmettre pédagogiquement, à partir de quoi, votre compréhension de l’actualité devrait être bien différente.
Au préalable et au-delà de vos enquêtes auprès de nos instructeurs politiques de la Waffen-SS à Wildflecken, comme premier petit exercice, mais laborieux, tentez de trouver dans les médias du courant dominant, l'intégralité des seulement 15 pages, originales, du rapport de la "Conférence de Wannsee" de janvier 1942. Il est pourtant le socle institutionnalisé de l'accusation de nos crimes (dont l'entreprise programmée et la mise en œuvre qui auraient permis d'exterminer six millions de Juifs), que l'histoire officielle n'a de cesse d'évoquer et que nous réfutons. Et non pas seulement les quatre ou cinq pages diffusées mondialement. Particulièrement avec l'exacte traduction et non celle tronquée du tribunal de Nuremberg. Vous y découvrirez déjà les parties de ce que les intrigants vous cachent à dessein.
La légitimité de notre engagement sur le front russe et à l’encontre de ce qu’impose encore la doxa, a pour socle les préparatifs bolcheviques de Staline pour envahir l’Europe, ne serait-ce que par son document n° 103202/06, « Opération Orage », du 18 septembre 1940 et qui n’est qu’une des preuves du projet de l’offensive soviétique prévue pour le mois de juillet 1941.
([...] En postulat de notre aventure, il nous aurait été absolument impossible d’ignorer une telle ampleur d’ignominies aussi gigantesques, dont nos réels vainqueurs nous accusent. Et si nous les avions constatées, nous aurions refusé de servir dans ces conditions. En revanche, dans la Wehrmacht et la Waffen-SS en Russie ou en Allemagne, ou plus tard dans l’armée française en Indochine et en Algérie, par similitudes fortuites, nous avons été contraints par nos adversaires partisans, donc dans une guerre révolutionnaire, qualifiée d’asymétrique, en étant les seuls signataires des Conventions internationales de La Haye puis de Genève face à nos ennemis, à adapter des modes d’actions qui ne sont pas ceux de la guerre conventionnelle ; qui n’est d’ailleurs pas exempte de reproches. Mais nous n’avons jamais reçu d’ordres meurtriers ou assassins, la rétorsion étant lourdement sanctionnée comme dans notre Division "Charlemagne", ce qui n’empêche pas évidemment et malheureusement des fautes ponctuelles commises de part et d’autre des belligérants en temps de guerre, souvent dans le feu et l’incertitude de l’action et avec la meilleure des bonnes volontés initiales. Très souvent sanctionnées quand elles étaient intentionnelles. Par ailleurs, les lois de la guerre étaient défiées comme avec l’un de ces types d’ordres de Staline, le n° 428, du 17 novembre 1941, sur la création d’équipes spéciales (parfois sous nos uniformes de la Wehrmacht ou de la Waffen-SS) pour la destruction et l’incendie de leurs propres collectivités - expertises déjà de la Tcheka et du NKVD - à l’arrière de nos troupes ; ce qui change la donne de la victimisation et bien-sûr soustrait encore à la connaissance du vulgum pecus. A l'instar de notre réaction conforme à la Convention internationale de La Haye sur les lois de la guerre, légitime et réglementaire face au terrorisme des partisans, avec notre Kommissarbefehl (Ordre du Commissaire) n° 44822/41 du 6 juin 1941. Cet ordre est tout aussi soigneusement écarté par les historiens officiels (comme les objectifs du CAJ "Comité antifasciste juif", mis en place par Béria, chef du NKVD, et responsable du massacre de Katyn, incriminé au IIIe Reich avec sa litanie de faux témoignages jusqu’en 1990, quand les responsables russes ont eu la loyauté de reconnaître l’action du NKVD !). C'est le CAJ qui a commandité Ehrenburg et Grossman, qui ont été les maîtres d'ouvrages de la version criminalisée de notre action au combat. Les Russes savent aujourd’hui que s’ils ouvrent encore leurs archives sur d’autres mensonges, ils peuvent bouleverser l’actualité et l’avenir des relations internationales, tant le Tribunal Militaire International de Nuremberg est le socle de la version officielle de ce conflit et la matrice de notre actualité).
Mais les explications de l'action au combat ne peuvent pas se faire en quelques mots ou quelques lignes, surtout à l'égard de malhonnêtes intentionnels et qui ne sont pas animés, fussent-ils civils, de l'esprit du Soldat dans l'acception aristocratique du terme.)
[...] Ensuite et pour l'instant, vous devrez trouver l'intégralité de l'"Opération Unthinkable" dissimulé jusqu'ici, que les Alliés abandonneront seulement un mois avant le début du jugement du tribunal de Nuremberg en août 1945 ; 34 pages dont 10 fondamentales qui sont soustraites et assez difficiles à obtenir.
Nous aussi, devons croire à la vérité officielle, avec nos crimes mensongers de la Seconde guerre mondiale, parce que c’est devenu juridiquement et effroyablement obligatoire ! Alors que nous avions une éthique chevaleresque que l'on ne retrouvera pas vraiment ni en Indochine, ni en Algérie ; sauf peut-être au sein de la Légion étrangère de ces époques, dans laquelle serviront n'en déplaise de très nombreux camarades de la Waffen-SS volontaires de toute l'Europe. Ils se sont encore efforcés de servir avec la même devise d'Honneur et Fidélité et une minorité certes, comme moi, - non sans difficulté - en tant qu'officier pendant plusieurs dizaines d'années après la Seconde guerre mondiale. [...]
Nos Pères,
vétérans de la Wehrmacht et de la Waffen-SS, 1999.
(Enquête de 1982 à 2007)
Nous plaidons non coupables des accusations portées contre nos Pères,
Waffen-SS honorables et pourtant amnistiés.
Leurs pourfendeurs corrompus par une doxa justicière, reportent avec perfidie leur tribalisme haineux,
maintenant sur les descendants de ces hérauts (dénaturés aussi par des flagorneurs malveillants),
ce qui oblige à cette très modeste production.
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Volontaire français
de la Waffen-SS.
Sennheim 1943.
Défense des intérêts matériels et moraux des familles des volontaires,
qui ont servi sur le front de l'Est au sein des unités militaires françaises de la Wehrmacht et de la Waffen-SS,
dans le cadre de la "croisade contre le bolchevisme et pour une Europe nouvelle" de 1941 à 1945.
Pourquoi ? Parce que si nous savions déjà que les réels vainqueurs de nos pères
- inquiets certainement pour leur vérité imposée sans nuance -
les traquaient encore jusqu'à leur mort malgré l'amnistie,
nous découvrons que ces justiciers obscurs reportent aussi leur malveillance sur les descendants et amis,
en les fichant à dessein, par les organismes publics de sûreté de l'Etat et pour un objectif malintentionné.
Le motif est parfaitement explicite, quant à la filiation incriminée comme descendants de Waffen-SS,
à l'encontre desquels selon les situations fortuites ou d'opportunités, ces justiciers condamnent l'intérêt filial et historique éclairé.
Ce fichage des descendants identifiés du vaincu et la loi inique qui impose une histoire officielle,
relève semble-t-il de la même dynamique de commanditaires qui ont très mauvaise conscience.
(Alors que de nombreux descendants servent les armes de la France !)
[Nous avons personnellement découvert cet état de fait, par un réseau de Gendarmes mafieux
(dont l'un, condamné depuis pour d'autres malversations professionnelles),
qui tentait de nous faire du chantage notamment avec un document classifié dérobé,
au profit d'un complice aigrefin, pseudo historien et "collectionneur", grand gourou de partisans compromis, mais réel informateur duplice,
dont nous dénonçons les multiples escroqueries incroyables, également à l'encontre de familles de vétérans français du front de l'Est.
Le lecteur comprendra que nous soyons en réaction, cette situation ayant stimulée nos recherches sur les raisons de ces exploitations diverses.]
Avec ces pratiques délinquantes, les descendants identifiés voient entre autres leur carrière professionnelle, leurs activités sociales,
frappées d'une surveillance et de rapports préjudiciables à leur insu.
Nos Pères nous ont pourtant éduqués sans militantisme, mais tournés vers l’avenir,
sans nous transmettre de responsabilités sur leur passé.
Nous n’endossions aucune idéologie et restions libres et reconnaissants de l’amnistie de nos pères.
Mais ce que nous prenions pour un droit au pardon et à l’oubli magnanimes est trahi par les justiciers d’état.
Ceux qui se sont embourgeoisés ou soumis au reniement du père, grand-père (tels ces deux Colonels opportunistes et donc pourfendeurs, seulement pour tenter d'être immaculés pour atteindre les étoiles, dont l'un courtisan et employé des Services, tel l'"antifa" de base)...
et qui ne se croient pas concernés de par leur réussite estimée,
ne sont que des naïfs sur les coulisses de leur carrière et pour l'avenir de leurs propres enfants.
Nous nous élevons contre cette transmission sournoise des haines
et la réprobation opportune sur les descendants identifiés de vétérans français de la Wehrmacht ou de la Waffen-SS.
Nous associons à cette considération les courtisans perfides, souvent oisifs parés du courage des autres,
contestataires surtout de l'ordre établi du moment et autres "informateurs" et qui bernent les plus ingénus.
Ces malfaisants portent également préjudices aux chercheurs et amateurs d'histoire loyaux, de toutes obédiences.
Notre ton enlevé est donc adapté aux procédés fielleux et abjects, des pervers qui nous stigmatisent.
Cet opprobre et cette vindicte acharnés, obligent logiquement les âmes bien nées à réagir et à s'interroger.
Au moins sur la vérité imposée par les faiseurs d'histoire et la réalité transmise par nos aïeux…
En revanche, cette confrontation d’après-guerre qui porte atteinte à la confiance,
dévoile finalement la réelle éthique de nos pères, de leurs pourfendeurs et de leurs manipulateurs.
Elle nous incite à porter alors un nouvel intérêt familial et participe à la compréhension parfois nouvelle des événements,
passés et contemporains ; cette Seconde guerre mondiale étant encore la matrice de notre actualité...
Et nous découvrons par discernement, que cette damnation imposée est fondée sur des mystifications exécrables
de la Seconde guerre mondiale, que nous n'aurions peut-être ni découvertes, ni précisées,
sans la diabolisation de nos justiciers perfides !
Nous reprocherait-on alors d'avoir obtenu les réponses de nos Pères
et de certains de leurs frères d'armes des guerres d'Indochine et d'Algérie - jadis anciens adversaires -
dont la réalité factuelle ne concorde pas avec la vérité imposée d'une Histoire devenue officielle (cadrée par la loi !) ?
(Bien aidés en cela par d’autres escroqueries éhontées, orchestrées encore par ceux dits du « camp du Bien », découvertes à posteriori, ne serait-ce que depuis la chute du « mur de Berlin » en 1989 : Golfe persique, Balkans, Irak, Libye, Afghanistan, etc. - auxquelles ont participé aussi des descendants de Waffen-SS - et autres 11 Septembre, Covid19, Ukraine, Palestine…)
Nous sommes en mesure d'informer les descendants sur les actions ostentatoires ou secrètes
de malveillances privées ou publiques d'état et autres justiciers spéculateurs hypocrites.
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La haine que nous vouent nos ennemis ne s’éteint pas avec notre mort.
Puissent nos enfants s'en souvenir.
Car en aucun lieu, nous n'aurons de repos.
Henri FENET
aux responsables régionaux de la HIAG France.
Ancien commandeur du 57e bataillon
de la division "Charlemagne" lors de la défense de Berlin,
Malgré les tentatives de dédouanement,
la Bible (Exode 20 : 5-6) et la Torah (2e Cdt.) ne précisent-elles pas en parabole que la faute des pères est perpétuée
jusqu’à la quatrième génération ?
A cette menace, même idiomatique sur l’iniquité des pères,
fait suite en revanche la grâce pour mille générations pour ceux qui concèdent !
Aux disciples de SYLLA (DRSD, DGSI, GND et autres agents informateurs généralement partisans) :
« N’ayons pas de colère contre les enfants de nos ennemis privés ou publics.
Un des grands exemples de la cruauté de SYLLA, c’est d’avoir écarté des charges civiles les fils des proscrits.
Rien n’est plus injuste que de faire peser sur un fils un héritage de haines. »
SENEQUE le Philosophe, De la Colère.
(Vers 2 av. et 65 ap. J.-C. Précepteur de Néron.)
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Alors que Brasillach évoquait les combattants français
de la Wehrmacht et de la Waffen-SS du front de l’Est :
[…] Mon pays m’a fait mal par toute sa jeunesse
Sous des draps étrangers jetée aux quatre vents,
Perdant son jeune sang pour tenir les promesses
Dont ceux qui les faisaient restaient insouciants. […]
"Mon pays me fait mal" (18 novembre 1944),
dans Poèmes de Fresnes (posthume, 1945).
A l’unissons, avant de rejoindre la Grande armée,
ils auraient tous pu déclamer :
[…] Quel don offrir à ma patrie
Qui m’a rejeté d’elle-même ?
J’ai cru que je l’avais servie
Mais encore aujourd’hui je l’aime.
Elle m’a donné mon pays
Et la langue qui fut la mienne.
Je ne puis lui léguer ici
Que mon corps en terre inhumaine […]
"Le testament d’un condamné"
Fresnes, le 22 janvier 1945.
Robert BRASILLACH
Officier, homme de lettres et journaliste,
né le 31 03 1909, fusillé le 06 02 1945
Tant que les lions n’auront pas leurs propres historiens,
les histoires de chasse continueront de glorifier le chasseur.
Proverbe indigène
#
Les réels vainqueurs du "camp du bien" autoproclamé, persistent au harcèlement des familles identifiées à l’"axe du mal".
Ils n’autorisent aucune commémoration officielle pour nos soldats tombés sur le front de l’Est, dans la Wehrmacht ou la Waffen-SS,
disparus pour leur conception du monde pour la France et l’Europe. Ce tribalisme d’hostilité héréditaire nous oblige.
Nous avons ainsi découvert les motifs perfides de la pérennisation de la haine de nos pourfendeurs qui favorisent le discernement, tout au moins sur l’ambiguïté des conflits de ces 80 années de victoire de nos accusateurs et sur leurs escroqueries planétaires.
Alors que nos Pères nous ont éduqués à l’hommage dus aux soldats légaux morts au combat et non à la fabulation
et au résistancialisme terroriste affranchi de l’éthique guerrière, matrices de notre société contemporaine, il est vrai.
Mais ces chantres du nouvel ordre mondial ne réussiront pas à briser notre respect pour nos Soldats, à l’uniforme Feldgrau ou kaki.
Nous sommes fiers de tous nos aïeux et des valeurs morales transmises de leurs expériences militaires et civiles.
#




Réalisé pour le 75e anniversaire de la création
de la "croix de guerre légionnaire" (LVF),
le C.D.V.F.E. propose au public (12 / 2018)
un fac-similé en série limitée, dans son écrin :
- la "croix de guerre légionnaire"
(dite "Monnaie de Paris"),
et
- ses déclinaisons de décoration.
- Voir article -
(A mettre à jour, suite à nouvelles informations)





ENSEMBLE CONTRE
LA DOXA HISTORIQUE
Doxaction c.d.v.f.e.
Dédicaces aux manipulateurs escrocs de tous bords, encore récents,
à l'encontre de nos familles !
Génuflecteurs, accusateurs hypocrites, voleurs,
qui travestissent la réalité et jettent les patronymes à la vindicte
et en mesurent parfaitement les conséquences :


Pour une étude équitable de la réalité… dans l’espoir de temps apaisés
"Que nous font injures et horions... Il y a deux histoires..."
Actualité :
1 - Contestation des pensions des vétérans de la Wehrmacht et la Waffen-SS.
2 - Davantage d’anciens de la Waffen-SS et de la Wehrmacht pensionnés… par la France, que par l’Allemagne ! (Suite à l'interrogation de journalistes sur notre article précédent)
3 - Damnés et ostracisés des commémorations du 6 juin 1944. Et accessoirement, l’un des combats de la LVF, à Bobr du 26 au 28 juin 1944, lors de la retraite de Russie...
4 - Répression d’Ascq 1944-2019 : traque de nos aïeux et résistancialisme…
5 - Ses dernières intrigues. Dans la tête d’un documentario-historio-journaliste. En correction de Serge HUSSON de SAMPIGNY, Leurs derniers aveux. Dans la tête des SS, Albin Michel, 2016. Ou, quand tous les principaux subterfuges incroyablement réunis en un seul ouvrage, valident la méthode justicière de falsification de l’histoire réelle (factuelle) au profit de l’histoire vraie (imposée) contre nos Pères (respectifs !) ; pour conformité à une doxa éhontée. (DE)
6 - Névrose de descendants de "Waffen-SS" - Réactions aux tourments existentiels de Français qui ignorent les raisons de l’engagement d’un parent dans la Waffen-SS (A partir des conversations publiques et du livre de Priscille CUCHE, Le nazi de ma famille, La Manufacture de livres, 2022). (DE)
7 - Correctif du livre de Robert Forbes, Pour l’Europe. Les volontaires français de la Waffen-SS, L’Æencre, 2005.
Par un document de mise à jour sur plus de 400 pages corrigées (genèse de l’ouvrage, historiologie, historiographie, coquilles, effectifs, dates, authentifications, invalidations, précisions rectificatives) apportées par R. S. et d’autres vétérans. Autant de rectificatifs, qui donnent une autre réalité aux évènements. Avec de très nombreuses nouvelles notes de bas de pages, dont des intrigues levées, révélatrices de cette petite histoire… qui concoure à la grande.
8 - Soldatesque et « impost » d’un Contrôleur des armées et de son acolyte. Correspondances avec des flagorneurs duplices, escrocs et de nouveaux "officiers" de la Légion étrangère. Confondus, qui profitent en réalité de la mémoire des disparus et des vétérans damnés de la guerre d’Indochine pour se réaliser. Ou quand le mensonge devient une arme domestique... (DE).
"LA CONCEPTION NATIONALE-SOCIALISTE DU MONDE"
Par des vétérans de la 33e division de grenadiers
de la Waffen-SS “Charlemagne”.
Avec leurs corrections d’une première ébauche
et annotations pédagogiques de descendants.
(Ne peut être publié. Loi 90-615 du 13 juillet 1990)
"SUITE DE LA GUERRE DU CLAN DES VAINCUS"
l’opprobre perpétué (1945-…)
ou
la synergie des pourfendeurs justiciers
avec les flagorneurs duplices,
à l’encontre des proches et des combattants français
du front de l’Est dans la Wehrmacht et la Waffen-SS (1941–1945)
Nous remercions ceux qui ont déjà fait part de leurs expériences
et sollicitons d'autres témoignages, en vue du développement
de cette étude d"anthropologie comportementale et sociologique" (sous pseudonymes).
Nonobstant les apparences d’accords et d’alliances
- à l'instar du "Traité de Moscou" du 12 septembre 1990 -
aucun traité de paix formel après 1945 pour la Seconde guerre mondiale,
n’est jamais venu mettre juridiquement fin
à l’état de guerre avec l’Allemagne.
Certainement à dessein, afin de traquer indéfiniment nos pères,
leurs camarades de combat et ceux qui comprennent.
Georges Pompidou "La grâce présidentielle de Paul Touvier" | Archive INA
(5'21). "...le moment n'est-il pas venu de jeter le voile,
d'oublier ces temps où les Français ne s'aimaient pas..."
Georges Pompidou (1911-1974),
Président de la république, le 21 09 1972.

A nos Pères, à leurs courageux adversaires d'antan de la "grande Russie" ; à l'avenir...
Hymne soviétique avec paroles de 1944 à 1977.
Chœur, balalaïka et toute l'âme russe, quoi qu'il en soit.
"[...] Nous ne combattions pas spécialement le peuple russe, qui nous considérait comme des libérateurs (au moins le jour...).
Mais le Soviet du judéo-bolchévisme qui les asservait et qui risquait surtout de submerger l'Occident [...]"
[...] J. Kappel : Où se trouve la solution ?
L. Degrelle : Eh bien, je vais vous surprendre, au risque de déchaîner contre moi la colère de nouveaux ennemis : j’attends beaucoup du peuple russe. Il représente une force encore saine et il ne supportera pas éternellement son régime de bureaucrates gâteux dont l’échec est total dans tous les domaines.
J’espère qu’un jour un jeune BONAPARTE sortira de l’Armée rouge comme aurait pu le faire TOUKHATCHEVSKI en 1938, et qu’il rompra avec le fatras idéologique débile qui étouffe la plus grande nation blanche qui soit encore décidée à agir sur l’histoire.
Là où NAPOLEON et HITLER ont échoué, c’est peut-être le fils de l’un de nos adversaires du Caucase et de Tcherkassy qui réussira en rassemblant autour de la Russie, guérie du virus communiste, tous les peuples européens pour entraîner le monde dans une nouvelle marche en avant.
Léon DEGRELLE, ancien SS-Standartenführer,
commandant l'unité belge francophone,
28e division de grenadiers mécanisés de la Waffen-SS "Wallonie".
Conversation recueillie par Jean KAPPEL, Histoire magazine, n° 19, septembre 1981.
Chaque génération doit recréer un nouvel équilibre,
entre le maintien de la tradition et la rupture avec le passé.
Konrad Lorenz. 1903-1989.
(Médecin, officier, éthologue. Prix Nobel
~
Cercle des Descendants et amis de Vétérans français*
du Front de l’Est
(1941-1945)
- Sous le haut patronage du capitaine Henri F., de l'aspirant Jean M.,
de membres de la famille du général Puaud.
Parrainé par la princesse Armand-Louis de P., le capitaine Jacques M. -
(Le Comité d’éthique est indépendant de toute relève et de tout objectif politique.)
Association of Descendants of french Veterans of the Eastern Front (1941-1945)
Vereinigung der Nachkommen von Französisch Veteranen der Ostfront (1941-1945)
Asociación de Descendientes de Veteranos franceses del Frente Oriental (1941-1945)
Circolo dei Discendenti dei Veterani francesi del Fronte Oriental (1941-1945)
Асацыяцыя нашчадкаў французскіх ветэранаў Усходняга фронту (1941-1945)
Асацыяцыя нашчадкаў французскіх ветэранаў Усходняга фронту(1941-1945)
Stowarzyszenie Potomków francuskich Weteranów Froncie Wschodnim(1941-1945)
"La transmission de la mémoire"
C'est un devoir.
Je n’aime pas ceux qui décident qui est un salaud et qui est un type très bien.
Deux de mes camarades étudiants sont morts sous l’uniforme allemand,
car ils avaient été convaincus par un professeur fasciste
de mener la croisade contre le communisme.
Qu’est-ce qu’il aurait fallu pour que je choisisse moi aussi ce camp-là ?
Il faut savoir pratiquer l’humilité et comprendre avant de juger.
“Pour aider à comprendre avant qu’il ne juge…” :
c’était la dédicace que j’écrivais sur mes livres lors de mes conférences.
Ce qui me gène chez ces anciens résistants dont j’ai partagé les épreuves,
c’est ce goût de dire : “j’avais raison”.
Chef de bataillon Hélie Denoix de Saint Marc.
Périgourdin. Résistant. Déporté. Officier en Indochine, Algérie.
Condamné pour le putsch de 1961, puis réhabilité en 1978,
gracié en 1966 et amnistié en 1968.
Grand-croix de la Légion d'Honneur en 2012.
Entretien le 11 décembre 2008 avec J-L. Fournier
et A. Laroche Pdt. H de la FNDIR.
Quelques thèmes abordés :
- Prélude
- Accueil
- Enthousiasme et charme d'une époque
- Genèse de la L.V.F. et de la division "Charlemagne"
- Exécution de Bad Reichenhall
- Souvenir du B.I.L.O.M.
- Hommage à la Légion étrangère
- Article 75 & Amnisties
- Divers et magnanimité.
#
Quand on représente une cause (presque) perdue,
il faut sonner de la trompette, sauter sur son cheval et tenter la dernière sortie,
faute de quoi l'on meurt de vieillesse triste au fond de la forteresse oubliée
que personne n'assiège plus parce que la vie s'en est allée ailleurs.
Jean Raspail
“Le Roi au-delà de la mer”.
Albin Michel, 2000.
A tous ceux qui sous l'uniforme allemand, américain, anglais ou russe,
firent respecter la réputation des guerriers de France.
A tous ceux qui pour cette seule gloire, placèrent leur Honneur dans la fidélité
à des causes dont aucune n'était la leur.
A tous les despérados que révolta une défaite imméritée. Aucun ne s'est trompé.
Tous se sont sacrifiés à la Gloire de leur Pays, sans espoir et sans calcul.
E. Labat. 1952.
#
[...] Recevez tous nos remerciements pour les documents émouvants que vous nous avez transmis.Nous
connaissons enfin, 66 ans après, dans quelles circonstances le père de mon épouse a trouvé la mort en
soldat et le lieu où il a eu une tombe. Avec mes très cordiales salutations.
Général G.
[…] après mes déboires et cette escroquerie sur cinquante années d'économies, je vous suis infiniment
reconnaissante du secours financier que vous m'avez apporté. Mon mari et vos pères... [...]
Mme. J. L.
A notre père, chant de sa 1re compagnie, du Ier bataillon,
du Régiment 58 de la division "Charlemagne"
Ich bin ein Freier Wildbretschutz
Famille G.
Nous vous remercions pour ces écrits de mon grand-père, médecin de la Division, qui avaient été subtilisés à mes parents par un indélicat.
Médecin moi-même et officier, ces documents sont pour nous d’une valeur sentimentale inestimable.
M. Ch.
#
« […] Pour le présent, recevez seulement les vœux amicaux et sincères que je forme pour vous
et les vôtres, en souhaitant que nos enfants ne connaissent jamais ces heures sombres
où de bons Français, en n’obéissant qu’à leur cœur et à leur conscience,
risquent de se trouver face à face. […] »
Commandant Pierre L.
Ancien officier F.F.I. au lieutenant G.,
ancien combattant de la division "Charlemagne".
#
Nos aïeux ont été considérés non seulement comme des soldats vaincus, mais plus encore comme des traîtres frappés du terrible et emblématique “Article 75".
Nos pères ont été fidèles jusqu'au bout, malgré certaines déconvenues, sans reniement, dans l'honneur. Perdant souvent tout ou partie de leurs biens, de leurs droits civiques, parfois leurs dernières illusions sur leur ancien monde vétuste. Mais très peu seront reniés par leur famille proche et ils reconstruiront leur vie, sans transmettre d'animosité à leurs enfants, mais la foi dans les valeurs qui ont fait notre vieille France. C'est en cela aussi qu'ils sont magnifiques, car ils purgeront leur peine, certains d'entre eux fusillés, pour être finalement amnistiés en 1950. Nullement graciés, mais amnistiés ; ce qui est le plus proche de l'absolution. En effet, ils ne pouvaient trahir, puisque l'armistice n'est plus la guerre par les armes et engagés sous un gouvernement légal et dans une armée européenne reconnue par la diplomatie internationale. Pourtant, ils subiront la perversité de la rétroactivité d'une loi, adaptée à posteriori, que l'histoire devra bien traiter un jour.
Malgré eux, ce fut aussi toute leur famille qu'ils entraînèrent souvent dans leurs nouvelles vicissitudes pénales. Beaucoup ont éludé leur passé, laissant l'histoire officielle vengeresse les accabler devant leurs enfants. Certains descendants se rebelleront, d'autres resteront sourds par déni. Et d'autres encore, de bonne race, sensibles aux vertus, souffriront pour ce père glorieux qui ne reniera jamais son pays ; mais dont les silences sur sa jeunesse ou la narration soudaine et emportée, ne pouvaient qu'émouvoir le sang transmis. Mais c'est cela aussi, savoir assumer sans forfanterie sa famille, ses amis, son pays.
Ne pouvant être exhaustives, les principales destinées :
- Après leur défaite et leur capture, la plupart des survivants sont rentrés en France avec appréhension, mais pensant aussi naïvement être traités en soldat. Après les tribunaux de fortune de l'été 1944, qui les avaient condamnés à mort, ils ont été jugés généralement fin 1945, début 1946 et en majorité à deux ou trois années d'internement. (Et ce, malgré le contexte du procès de Nuremberg...) Les mineurs, au moment de leur engagement et les moins de 21 ans, rejoindront le camp du Struthof en Alsace et les centrales pénitentiaires pour les aînés.
- Beaucoup plus éprouvant, fut l'internement dans les différents camps de prisonniers soviétiques, pour être finalement regroupés dans l'emblématique camp de Tambov. Mais nos pères ne garderont pas l'animosité hargneuse, relevant même parfois une certaine bienveillance de l'officier russe. Ils rejoindront péniblement la France pour leur jugement, la plupart entre 1946/47 parfois jusqu'en 1952.
- De nombreux autres trouveront grâce dans la Légion étrangère, qui évolue aussi et tente aujourd'hui de minimiser l'incorporation de tous ces anciens Waffen-SS...
- Certains resteront en Allemagne quelques courtes années. Mais les opportunités professionnelles, les déceptions, et souvent la rencontre d'une âme sœur qui pouvait tout comprendre ou la propre Infirmière, maintiendront quelques vétérans au-delà du Rhin.
- Quelques survivants encore réussiront à rejoindre d'autres cieux, en Italie, Espagne, beaucoup parmi eux en Amérique latine. Rejoints par ceux qui, leur peine purgée, quitteront la France.
- Quelques-uns resteront dans la Légion étrangère, certains parviendront à servir dans l'armée régulière (le B.I.LO.M. date de 1948).
- Quelques individualités rejoindront une confrérie religieuse ou prononceront parfois leurs vœux au sein d'un Ordre.
- La majorité des survivants devait être libérée en 1948 et 1949 et une minorité le sera après 1950.
- De nombreux libérés trouveront souvent un premier emploi chez des employeurs bienveillants, tels ces industriels parisiens qui confieront même des postes de cadres. Les descendants de ces employeurs se souviennent aussi de ces salariés atypiques, comme ceux des Ets. Moyse.
- Pour la majorité des survivants, après les premiers contrats civils ou militaires et avec les prémices des “Trente glorieuses" (1945-75), nos Pères mettront à profit la valeur de leur éducation et de leur expérience de soldat pour construire leur vie. Qu'ils deviennent artisans, médecins, informaticiens, militaires, ouvriers, avocats, entrepreneurs ou aventuriers, ils réussiront professionnellement et familialement tout aussi bien que ceux de leur génération, qui avaient choisi le "bon camp". Toute leur vie, ayant pourtant purgé leur peine puis amnistiés, ils devront être prudents, réservés, voire se cacher... sans renier leur geste, ni leurs camarades. Ne trouvant parmi leurs anciens adversaires, de main tendue que parmi ceux les plus chevaleresques. Mais ce sera souvent la haine des résistantialistes et des pleutres.
- Aujourd'hui, nos Pères ont presque tous disparus, mais sont récupérés par des opportunistes. Les uns tronquent leur histoire, les autres les "rejugent” plus sévèrement. Les descendants marqués, sont poussés parfois au reniement.
Ces Templiers" et “Demi-soldes'' des temps modernes, maudits par la doxa et tourmentés, n'en demeurent pas moins des Pères admirables, des hommes d'honneur, courageux, reconnus par leurs opposants les plus loyaux.
Mais, vae victis...
Par la versatilité des politiques, puissent nos Armées ne pas être les proscrits accablés de demain. Le courage, l'abnégation ou le sacrifice n'ont pas d'uniforme, ni de drapeaux et un Soldat victorieux doit savoir saluer les vertus d'un adversaire vaincu. Mais la haine est savamment développée par les profiteurs du courage des autres. Notre pays peut aussi compter aujourd'hui sur les loyaux descendants de cette génération de soldats, qui malgré les tourments, n'a jamais renié sa patrie.
Les descendants, parfois stigmatisés par les plus vils, portent aujourd'hui avec une grande fierté les attributs de tradition de leurs unités (fussent-elles issues de la 2e D.B.), au service des armes de la France.
Il n'est point question de ressasser. Mais ce passé qui dérange, que certains préfèrent tenter d'oublier avec ses fausses vérités et dont on voudrait nous faire culpabiliser, voire repentir, resurgit toujours opportunément depuis 70 ans. C'est par les nombreux contacts de descendants ou amis, qui parfois n'ont pas pu ou su échanger avec ce père, grand-père ou oncle, que nous existons. Même si les politiques français n'ont pas clos moralement et à dessein la Seconde guerre mondiale de façon honorable, pour que nos familles comprennent et restent fiers de tous leurs aïeux loyaux, quel que fut le camp - volontaires croisés du front de l'Est du maréchal Pétain ou engagés de la Ire Armée du général De Gaulle - II leur faut trouver souvent seuls, argumentaire, sérénité pour l'objectivité.
#
Chant de la division "Charlemagne"
Le Chant du Diable
Discours du général G. KRUKENBERG
en janvier 1945
Et sa dernière mobilisation des forces morales de nos aïeux en mars 1945
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Expression chevaleresque d'un vainqueur, à l'égard de nos Pères (exceptionnelle dans ce thème)
[…] je me souviens, comme chef de Patrouille, avoir mitraillé les troupes en retraite sur le Bobr, le Dniepr, la Bérézina, Minsk, le Niémen. Ce qui ne m’empêche pas d’admirer le courage de ces Français et de saluer aujourd’hui leur sacrifice.
« L’histoire ne inquiétera pas de savoir qui a commencé,
mais ce sont toujours les vainqueurs qui écrivent l’histoire et disent le droit ! » […]
Général Léon Cuffaut (1911-2002)
avec 17 victoires aériennes.
Commandant du "Normandie-Niémen" (04-1947 à 09-1948)
Premier président national de l’A.N.M.O.N.M. (1972-1993)
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#
Enregistrements de nos Pères,
volontaires dans La Légion des Volontaires Français
et
la Brigade d'assaut française de la Waffen-SS :
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(Les documents suivants permettraient aussi des commentaires
et une analyse pédagogiques, propices à l’émergence de la réalité historique,
sur la vérité académique ou les mythes colportés sur nos aïeux.Beaucoup d'erreurs
et d'interprétations faites à dessein, dans une dynamique téléologique.)
"Les Waffen-SS français de Hitler" "Histoire en direct".2 octobre 1989. Entretien de Patrice Gelinet, journaliste, avec les témoignages de H. Fenet, Ch. de La Mazière, R. Riberto (1 h 00)
"La LVF contre le bolchevisme (1941-1945)""2000 ans d'Histoire". 12 décembre 2002. Entretien de Patrice Gélinet, journaliste, avec François Broche, historien, journaliste (26 mn)
1re Partie
2e Partie
"Les Waffen SS français"
"2000 ans d'Histoire". 23 mai 2007.
Entretien de Patrice Gélinet, journaliste, avec Pierre Giolitto, Docteur ès lettres,
historien et pédagogue (30 mn)
"Les SS français et l’Europe"
Entretien de M. P. Z. avec M. A. C.
sur une onde radio en 1971.
Départ W-SS français
Paris gare de l'Est 19 Sept. 1943
1re Partie
2e Partie
Reportage W-SS français
Versailles 03 février 1944
Siège W-SS français
Paris 30 août 1943
Reportage W-SS français
Sennheim (Cernay) 02 mars 1944
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avec Pierre Giolitto, Docteur ès lettres,
sur une onde radio en 1971.
#
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Paris, le 27 août 2009.
Ce Site Internet fait référence à nos aïeux (condamnés puis amnistiés)
qui ont combattu sur le front de l'Est de 1941 à 1945
au sein de la 33e Division de grenadiers “Charlemagne”
(intégrés à la Waffen-SS) ;
Chant de la Waffen-SS : "Treuelied"
issus :
- à partir de1941, de la Légion des Volontaires Français
(volontaires au 638e régiment d’infanterie de la Wehrmacht) ;
Musique de la L.V.F.: "Marche Consulaire"
- à partir de 1943, de la Brigade d’assaut n° 8
(volontaires français de la Waffen-SS)
Chant de la L.V.F.: "Souvenirs qui passent"
"Monica"
- et autresvolontaires ou recrues de différentes organisations,
(des forces de l'Axe et de l'Etat français)
Exemples de chants contemporains aux événements
et paroles révélatrices de motivations qu'il faut assumer...
Chant de la Milice : "Chant des Cohortes" 1941
Chant des Compagnons de France : "Debout la France" 1941
#
- Enthousiasmés aussi par les charmes d'une époque -
Avec ces principales exhortations de recrutement :
“Cette Légion constitue à sa manière une chevalerie nouvelle”
entre christianisme et communisme, il ne peut y avoir d’alliance, de pacte, de compromis. Car le communisme dépouille l’homme de sa liberté, de tous les principes spirituels qui doivent régler sa conduite, sa dignité ;
il refuse à la vie humaine tout caractère sacré et spirituel.
C’est une doctrine conçue contre l’ordre social dont elle détruit les fondements mêmes.
Ce n’est pas seulement l’honneur militaire de la France que la Légion défend.
N’oubliez pas que les volontaires aident aussi à maintenir la puissance spirituelle de la France, et que,
combattant pour leur famille, et pour leur patrie,
ils combattent en même temps pour la civilisation chrétienne de l’Occident
menacée depuis longtemps par la barbarie communiste.
Comme prêtre et comme Français, j’oserais dire que ces légionnaires se rangent parmi les meilleurs des fils de France.
Placée à la pointe du combat décisif, notre Légion est l’illustration agissante de la France du Moyen Age, de notre France des cathédrales ressuscitées et, je le dis, parce que j’en suis sûr, que ces soldats contribuent à préparer la grande renaissance française. En vérité, cette Légion constitue à sa manière une chevalerie nouvelle,
ces légionnaires sont les Croisés du XXe siècle, que leurs armes soient bénies ! Le tombeau du Christ sera délivré !
Monseigneur Alfred Baudrillart
historien, recteur de l’Institut catholique de Paris,
Le 4 décembre 1941, à la presse du P.P.F.
Ou encore :
La “Lutte pour l'existence de l'Occident
et le maintien de la culture spirituelle de la France et de l'Europe.”
Messieurs, ce qu'il est de votre devoir de dire à nos frères Français, tout simplement ;
c’est, ce qu'est la Légion des volontaires français.
Oh ! Je sais, on l'a traînée dans la boue. Elle porte l'uniforme “Feldgrau”, cela suffit. On se trompe.
Ces enfants, ces pères de famille que l'on présente comme des aventuriers, comme des gens sans foi ni loi,
eh bien, ils exposent leur vie pour un idéal. Je voudrai que beaucoup de Français en fasse autant.
Je vous demande donc de dire que ceux qui se battent à l’Est, s’y battent pour leur idéal ;
pour refaire, côte à côte avec la Wehrmacht, une France forte,
qui sera marquée par une Armée nouvelle, une Armée jeune, une Armée dynamique.
Dites seulement aux Français, que ceux qui se battent à l'Est, sont de vrais Français, qui se battent pour leur pays
Colonel Edgar Puaud.
Commandant la Légion des Volontaires Français.
De retour du Front de l'Est, déclaration à la Presse le 31 mars 1944.
“La Croisade contre le Bolchevisme et pour l'Europe nouvelle”
C'est un beau mystère, une chanson de geste, qu'écrivent nos gars à la pointe de leur baïonnette,
avec l'encre de leur sang,sur cette immense page blanche, de la neigeuse steppe russe.
Jeunesse de France, comprendrez-vous le spirituel de la Légion Française ?
Monseigneur Jean Mayol de Lupé
Aumônier de la L.V.F. puis de la division "Charlemagne"
Au rassemblement du Vel d'Hiv le 21 avril 1944.
“Avoir 20 ans, vivre à l'époque la plus grandiose de l'histoire humaine”
Je veux saluer ces premiers pionniers qui ont affronté les risques du combat dès 1941,
et les rigueurs encore plus dures du terrible hiver 1941/1942.
Grâce à la Légion, la France a la possibilité de reconstituer la seule force militaire qui peut être acceptée en Europe, puisqu'elle concourt à la défense commune... Ne sait-elle pas, notre jeunesse, que si elle ne combat pas,
la jeunesse d'Europe qui donne son sang à flot sur le front de l'Est, n'aura que mépris pour elle ?
Avoir 20 ans, vivre à l'époque la plus grandiose de l'histoire humaine et faire le "zazou" physiquement et moralement...
Quelle décrépitude et quelle déchéance !"
Lieutenant Jacques Doriot
Officier de L.V.F., chef du P.P.F.
Au rassemblement du Vel d'Hiv le 21 avril 1944.
[...] Il ne s’agit pas pour les Français de se convertir aux idées Nationales-Socialistes,
mais à être prêts à préserver l’Occident chrétien de l’athéisme de l’Est ! [...]
Mgr. Jean Mayol de Lupé
cité le 2 janvier 1980 par le général Gustav Krukenberg.
#
- Genèse de la Légion des Volontaires Français
à la division "Charlemagne" -
du lyrisme de Jean Mabire et de la véracité de Dominique Venner.
I - Tableaux de filiation de la division "Charlemagne" (CDVFE
II - La Légion des Volontaires Français (D. Venner)
III - La Légion Tricolore : Intermède de la L.V.F. (D. Venner)
IV - La Waffen-SS française : La Brigade d'assaut N°8 (J. Mabire)
V - Tableau des organisations pourvoyeuses de la division "Charlemagne" (CDVFE)
VI - La division "Charlemagne" (J. Mabire et D. Venner)
VII - "La guerre à quinze ans" (D. Venner)
I - Tableaux de filiation de la division "Charlemagne"
avec la L.V.F. & divers Mouvements :
- Accueil -
Chant du Parti Populaire Français : "France libère-toi" 1936
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- Exécution de Bad Reichenhall -
Le mardi 8 mai 1945 vers 10 h 00,
de la 2e Division Blindée des forces Alliés et qui vont les fusiller vers 17 h 00.
André B., par exemple, connaîtra :
- Le front de l’Est, à la Sturmbrigade (blessé ici en août 44 en Galicie) et la ‟Charlemagne” ;
- Le Struthof, où il sera interné après son jugement ;
- L’Indochine, au B.I.L.O.M.
- La Corée au Bataillon français de l’O.N.U.,
- Le centre Annam, au GM 100,
- Les camps du Vietminh après la chute de Diên Biên Phu ;
- L'Algérie, où il reprendra du service dans les troupes aéroportées.
A ces affectations d'un seul homme, qui font synthèse de parcours individuels, manquerait la Légion étrangère dans laquelle serviront aussi de très nombreux vétérans français du Front de l'Est.
- BAD REICHENHALL -
Une affaire dissimulée par les bien-pensants et exploitée par les pseudo-admirateurs de nos Pères,
Mais les uns et les autres sont incapables de l’appréhender en Soldats dépassionnés.
Une tragédie française
8 mai 1945, Bad Reichenhall : 12 soldats français,
de la 33. Waffen-Grenadier-Division der SS „Charlemagne" (französische Nr. 1),
sont exécutés par des éléments de la 4e compagnie du Ier bataillon
du Régiment de Marche du Tchad de la 2e DB du général Leclerc.
Ma chère femme, Le 8 mai 1945.
J’ai fait mon devoir comme je l’ai pensé, contre le bolchevique et le sans Dieu.
Je me suis confié ce matin aux Américains, les troupes françaises vont me fusiller.
Ma chère femme, pardonne-moi. […]
Je t’embrasse de tout mon cœur. Embrasse ma pauvre mère et les enfants.
Crois toujours en Dieu et pardonne le mal qu’on nous fait injustement.
A Dieu.
Lettre d'un fusillé de la division "Charlemagne",
par la 2e D.B. à Bad Reichenhall.
~
Ma chère Maman, Le 8 mai 1945, vers 17 heures.
Avant d’être fusillé, je pense t’écrire un dernier mot pour te dire au revoir.
J’ai cru avoir fait mon devoir en homme et je regrette qu’une chose,
c’est de n’avoir pas été tué sur le front, parce qu’il est pénible
de se faire fusiller par des Français contre qui nous ne voulions pas lutter.
Je te quitte en t’embrassant bien, bien ainsi que toute la famille.
Je te donne rendez-vous là-haut où j’espère que Dieu saura nous juger.
Lettre d'un fusillé de la division "Charlemagne",
par la 2e D.B. à Bad Reichenhall.
~
Ma chère Maman, 6 h 20, le 24 juillet 1947.
[...] En faire un homme voilà le but,
au service de la Patrie pourtant bien injuste. […] »
G. R.
Officier de la division "Charlemagne".
(Dernière lettre à sa mère au sujet de son fils unique, qui, au moment de l’exécution
salue notre drapeau à la levée des Couleurs de son camp scout.)
"La Mort en face"- Robert Brasillach (matin de son exécution).
Par Pierre Fresnay
- Quand nos aïeux et ennemis d'autrefois,
devenaient anciens adversaires,
dont la bravoure était saluée parfois
par l'élégance du vainqueur... -
~
Monsieur, Le Bellieu, le 26 mars 1946.
« […] Votre neveu, j’ose le dire, était généreux et un brave.
Il a su se dévouer, s’exposer à la souffrance, à la mort pour un idéal, ce qu’il croyait le mieux.
Je préfère cent fois sa conduite et celle de ses compagnons
à celle de l’immense foule de patriotes éloquents,
qui chantent avec tant d’émotion la Marseillaise et s’embusquent à l’heure du danger,
et critiquent, mais ne sont que des lâches, des pauvres égoïstes. »
~
Monsieur le Docteur, 15 avril 1958.
« […] Bien que 13 ans aient passé, je me souviens de ce 8 mai 1945 comme si c’était hier.
Je n’ai vu les 12 condamnés que quelques minutes. Ils furent exécutés simplement, sans haine.
Par des soldats respectueux et… désolés.
Je comptais procéder avec les Allemands à leur sépulture,
mais les Américains m’en empêchèrent.
Vos camarades s’étaient rendus aux Américains qui ne trouvèrent rien de mieux
que de les livrer aux Français… qui furent, croyez-le, fort embarrassés…
Qu’ils reposent en paix ! Ils eurent le courage de leurs convictions, ce furent des braves. … »
Père Maxime Gaume
ancien aumônier de la 2e D.B
(Lettres adressées à l’oncle d'un fusillé de la division "Charlemagne",
par un peloton d'exécution de la 2e D.B., le 8 mai 1945
et au Dr. M. L. médecin militaire dans la division “Charlemagne")
1er B.I.L.O.M., puis
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Bataillon de Marche
du Sud-Annam
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6e Bataillon de Marche
d'Extrême Orient
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6e Bataillon Montagnard
vietnamien
#
- Respects à la Légion étrangère -
rédemptrice aussi de nos aïeux
Autre coiffure,
autre emblème
Mêmes adversaires,
même devise...
"Honneur & Fidélité"
"Le chant du diable"
33e division française de la Waffen-SS
"La Légion marche vers le front"
Chant du 2e régiment étranger de parachutistes

Salut respectueux au lieutenant-colonel Pierre JEANPIERRE,
premier des officiers bienveillants et magnanimes, qui a recruté de nombreux camarades de nos pères.
Comme Capitaine au poste de recrutement de la Légion étrangère de Kehl et par la suite,
alors qu’il venait d’être rapatrié du camp de concentration de Mauthausen fin mai 1945.
Il sera l'un des emblématiques chef de corps du 1er bataillon (puis régiment) étranger de parachutistes
(prestigieuse unité, qui fut dissoute pour sa participation à la tentative de coup d'état du 21 avril 1961).
Une autre envergure que ce mièvre Général de la (nouvelle ?) Légion
- accessoirement défenseur présumé de notre Armée -
qui nous écrivait en juin 2017, que nos pères auraient dû être tous exécutés…
Mais suivi d’un échange épistolaire anthologique, qui traduit la haine que l’on nous porte
aussi par héritage depuis tant d’années.
(Le malotru n’imaginait pas que nous savions que l’association dont il est aujourd’hui le Président,
a été créée par un ancien Oberjunker camarade de nos pères !)
Le poltron étoilé, duplice, ayant écrit et lu sans vergogne et avec cette hypocrisie obscène,
l’oraison funèbre de l’ancien officier français de la Waffen-SS réel défenseur de notre Armée.
N’ayant pas eu la décence de faire lire l'éloge par un autre, il est probable qu’encore en 2010,
si ce Général avait déversé son fiel, les vétérans du front de l’Est et leurs fils présents à l’office religieux,
n’auraient pas manqué de lui apprendre ce qu’était un Soldat français.
“Qu’est-ce que nous étions ; que sommes-nous devenus…” déplorait le guerrier poète.
"Aux Légionnaires"
[...] Mais ça n’est pas admis chez nous,
Un copain dit au bord d’not’trou
Quelqu’bout d’prière,
Deux morceaux d’bois en croix, un nom,
Qu’importe si c’nom là c’est pas l’bon
C’t’un Légionnaire.
"Aux Légionnaires"
Non, je ne regrette rien...
La Légion n’évoque jamais la nationalité des siens « Legio Patria Nostra ».
Mais quoi qu’il en soit, sa force est le guerrier allemand pilier de ses bataillons ;
Allemands et Français luttèrent fraternellement unis pendant cinquante-six jours,
et cette fraternité d’arme est restée profondément gravée dans sa mémoire comme le symbole
d’une réconciliation et d’une union définitive, entre deux grands pays européens.
Général Pierre Langlais
Commandant le secteur centre du camp retranché de Dien Bien Phu.
Dien Bien Phu, Éd. France-Empire, 1963. Presses Pocket, 1969.
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Il y avait des Allemands parmi ces hommes ;
il y avait aussi beaucoup d'étrangers.
Il semblait que ceux-là, surtout, éprouvaient le besoin de se lier à l'écroulement final.
Les Allemands n'avaient porté que leur uniforme national.
Eux, ils avaient eu le choix, et ils entendaient s'y tenir.
E. Labat.
Vétéran du Front de l'Est.
Ceux qui ont pris parti avec leur sang ou le risque de leur sang,
se rassemblent deo gratio dans le mépris qu'ils lèguent à ceux qui n'ont pas pris parti
et qui vivent.
Marc Augier.
Vétéran du front de l'Est.1963.
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Mais pendant que nos Pères montaient sur le front de Poméranie :
(Testament politique d'Adolf Hitler par Martin Bormann)
Quartier Général du Führer
14 février 1945
[…] C'est à l'égard de la France que l'erreur de notre politique a été la plus complète. Il ne fallait pas collaborer avec eux. Cette politique qui les a servis, nous a desservis.
Abetz s'est cru original en se faisant le champion de cette idée et en nous poussant dans cette voie.
Il se croyait en avance sur les faits alors qu'en réalité il retardait.
Il s'est figuré que nous avions affaire à la France de Napoléon, c'est-à-dire à une nation capable de comprendre et d'apprécier la portée d'un geste noble.
Il a omis de voir ce qui est, c'est-à-dire que la France, en l'espace de cent ans, a changé de visage.
Elle a pris celui d'une prostituée.
C'est une vieille putain qui n'a cessé de nous tromper, de nous bafouer et de nous faire chanter. […]
Quartier Général du Führer
15 février 1945 (*)
[…] Je n'ai jamais aimé la France ni les Français, et je n'ai cessé de le proclamer.
Je reconnais néanmoins qu'il y a parmi eux des hommes de valeur. II est indubitable, au cours de ces dernières années, que de nombreux Français ont joué avec une entière sincérité et un grand courage la carte de l'Europe.
Ce qui prouve la bonne foi de ces précurseurs, c'est la sauvagerie avec laquelle leurs propres compatriotes leur ont fait payer leur clairvoyance et leur foi. […]
(*) Date des préparatifs de la montée sur le front de Poméranie de la première rame ferroviaire
le 17 février, avec le régiment 57 de la division "Charlemagne".
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L'effet majeur de ce support est une présentation de problématiques
postérieures aux événements de 1941 à 1945.
Ce n'est pas l’opportunité d'un plaidoyer pour justifier une action passée,
il y a plus de soixante ans !
De ce fait, pourfendeurs et admirateurs de ce thème
ne trouverons ni condamnation, ni apologie de l’engagement militaire de nos aïeux,
ni misérabilisme.
Nous savons déjà, par expérience, que les plus obtus des uns et des autres
et profiteurs de cette période de la Seconde guerre mondiale, matrice de notre société,
ne nous trouverons pas à leur convenance.
Les génuflecteurs trafiquants ne manqueront pas de se positionner.
En revanche, pour le plus grand nombre,
les motivations singulières de cette initiative et les rebondissements évoqués
permettront certainement, par de nouveaux prismes d’études,
de concentrer sur le Comment, le Pourquoi,
d’une geste militaire toujours taboue à ce jour.
Si nous sommes héritiers de ces hommes - au fil des générations et pour rester dans le thème guerrier du XXe siècle - nous connaissons aussi les parcours éclectiques d’autres membres de nos familles.
Nous assumons et reconnaissons ainsi notre filiation.
Ils ont été engagés, successivement parfois, dans la guerre d'Espagne, l'Armée française, la Ire Armée ou comme prisonniers.
Ces différentes destinées parfondent cette richesse majeure qu’est l’expérience humaine, de ceux qui nous ont précédés et pour ceux qui portent intérêt à leurs Anciens. Elles nous dictent de respecter le contexte, tout en interdisant une damnation expiatoire à posteriori.
De ces aïeux du Front de l'Est, quelques petits milliers ont réchappé, peu ont survécu aux différentes campagnes militaires de la "décolonisation" et aux blessures de la vie.
Car s’il focalise sur le Front de l’Est, ce site est dédié à tous les soldats français pétris des mêmes vertus d’abnégation et de sincérité. Ainsi, ils découvrent parfois qu'ils ont plus de points communs qu'ils n'avaient jadis de raisons de s'opposer.
Ils se sont engagés au plus fort des combats de cette Seconde guerre mondiale, devenue vecteur de référence, sous l'uniforme Feldgrau ou kaki, comme modestes acteurs de combats titanesques.
Puis, parfois "frères ennemis" devenus souvent "frères d'armes" alliant en secret, n'en déplaise, Croix de fer et Croix de guerre contre un adversaire commun, dans les guerres d'Indochine (1946-54), de Corée (1950-53), ou d'Algérie (1954-62). Sans compter "Suez" (1956- 57) et autres Opérations ; pour que la France demeure.
Mais aussi aux profiteurs, donneurs de leçons, combattants par procuration, nécrophages,…
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Mon pays m'a fait mal par toute sa jeunesse
Sous des draps étrangers jetés aux quatre vents,
Perdant son jeune sang pour tenir des promesses
Dont ceux qui les faisaient restaient insouciants. […]
Robert Brasillach
(1909-1945. "Mon pays me fait mal". Fresnes 18 novembre 1944).
Par Pierre Fresnay
Mon Pays me fait mal
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Le Drapeau de la L.V.F. et sa Garde,
lors de la messe du dimanche 12 mars 1944
à Greifenberg.
"Aux Morts !" Clairon
A nos familles qui, pour ces soldats du front de l’Est, n'ont aucun monument officiel
devant lequel s'incliner aussi.
"J'avais un camarade" : Tambours et cuivres
"La Marseillaise" : Hymne national français.
[...] Le Soldat n’est pas un homme de violence.
Il porte les armes et risque sa vie
pour des fautes qui ne sont pas les siennes.
Son mérite est d’aller sans faillir au bout de sa parole
tout en sachant qu’il est voué à l’oubli. [...]
Antoine de Saint Exupéry
(1900-1944. Ecrivain, officier pilote de chasse). "Terre des Hommes" (1939).
Vent d'Est (Il neigeait, La froide bise sifflait...)
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(Décret-loi du 29 juillet 1939 du Code pénal - Livre III - Chapitre Ier )
appliqué légalement sous le Gouvernement Provisoire de la République Française
du général de Gaulle (1944-46),
pour sanctionner rétroactivement les volontaires français sur le Front de l'Est, pour leur engagement légal
sous l'Etat Français du maréchal Pétain (1940-44).
- Loi d'Amnistie du 5 janvier 1951 -
Et l'histoire paradoxale d'une époque et de son initiateur.
#
- Une jeunesse pétrie des mêmes vertus,
quel que soit l'uniforme, à une époque aujourd'hui révolue.
Engagements fratricides, non par oppositions systématiques,
mais souvent par l'élan d'un enthousiasme spontané.
Pour comprendre nos Pères,
il ne suffit pas de connaître le contexte de leur jeunesse,
mais également l'influence des décennies qui a précédé leur action -
#
Psaume IV - Robert Brasillach
Par Pierre Fresnay
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„Die Männer der Waffen-SS waren Soldaten wie alle andereauch !“
"Les hommes de la Waffen-SS étaient aussi des hommes comme les autres"
Konrad Adenauer.
Discours à Hanovre, le 30 août 1953.
~
« […] Certains se laissèrent entraîner par le mirage de l'aventure.
Quelques-uns crurent défendre une cause assez haute pour justifier tout.
S'ils furent des coupables, nombre d'entre eux n'ont pas été des lâches.
Une fois de plus, dans le drame national, le sang français coula des 2 côtés.
La patrie vit les meilleurs des siens mourir en la défendant.
Avec honneur, avec amour, elle les berce en son chagrin.
Hélas ! Certains de ses fils tombèrent dans le camp opposé.
Elle approuve leur châtiment, mais pleure tout bas ces enfants morts.
Voici que le temps fait son oeuvre.
Un jour, les larmes seront taries, les fureurs éteintes, les tombes effacées.
Mais il restera la France. […] »
Général Charles de Gaulle,
Président de la république française de 1959 à 1969.
Mémoires de Guerre - Tome 3 - "Le Salut". 1959.
~
[...] Quel don offrir à ma patrie
Qui m'a rejeté d'elle-même ?
J'ai cru que je l'avais servie,
Même encore aujourd'hui je l'aime.
Elle m'a donné mon pays
Et la langue qui fut la mienne.
Je ne puis lui léguer ici
Que mon corps en terre inhumaine. [...]
Robert Brasillach.
(1909-1945. "Le Testament d'un condamné". Fresnes 22 janvier 1944).
~
Mon Lieutenant, cher ami, Le 29 décembre 1965.
[…] Et c’était, tout compte fait, le même amour de la France et le désir de lui assurer
un avenir digne d’elle, qui poussait l’un à revêtir l’uniforme Feldgrau,
alors que l’autre recevait ses armes de l’Angleterre ou des U.S.A.
Et il me paraît maintenant bien vain de chercher ou de dire qui,
du sergent G. ou du sous-lieutenant F.F.I avait raison... Ils avaient raison l’un comme l’autre,
puisqu’ils n’obéissaient qu’au seul désir d’aller au-delà d’eux-mêmes
pour affirmer leurs convictions.
Et c’est pour cela qu’aujourd’hui, sans rien renier de leur passé,
ils peuvent se regarder droit dans les yeux et se reconnaître de la même race. […]
Pour le présent, recevez seulement les vœux amicaux et sincères que je forme pour vous
et les vôtres, en souhaitant que nos enfants ne connaissent jamais ces heures sombres
où de bons Français, en n’obéissant qu’à leur cœur et à leur conscience,
risquent de se trouver face à face. […] »
Commandant Pierre L.
(Ancien officier F.F.I. à un lieutenant d’infanterie,
ancien combattant de la division "Charlemagne".)
~
Conférence de presse du 23 septembre 1972.
« Notre pays, depuis un peu plus de trente ans a été de drame national en drame national.
- Ce fut la guerre ;
- la défaite et ses humiliations ;
- l’Occupation et ses horreurs ;
- la libération, par contrecoup l’épuration et ses excès, reconnaissons-le ;
- et puis la guerre d’Indochine ;
- et puis l’affreux conflit d’Algérie et ses horreurs des deux côtés ;
- et l’exode d’un million de Français chassés de leurs foyers ;
- et du coup l’O.A.S. et ses attentats, ses violences, et par contrecoup la répression.
Alors, ayant été, figurez-vous, dénoncé par les agents de Vichy à la police allemande, ayant échappé deux fois à un attentat,
ne fois au côté du général De Gaulle et l’autre fois à moi destiné, je me sens le droit de dire :
- allons-nous éternellement entretenir saignantes les plaies de nos désaccords nationaux ?
- le moment n’est-il pas venu de jeter le voile ;
- d’oublier ces temps où les Français ne s’aimaient pas et même s’entretuaient ?
Et je ne dis pas ça, même s’il y a des esprits forts, par calcul politique,
je le dis par respect de la France. »
Georges Pompidou,
Président de la république française de 1969 à 1974.
(Neveu du lieutenant Frédéric Pompidou, de la L.V.F. et blessé sur le front russe.)
~
Octobre 1974.
Dès le premier jour, je me fis présenter les officiers, […]
émergeaient cependant quelques figures intéressantes.
L’un d’eux, par son regard direct, sa rectitude physique et morale marquée des traces d’une discipline prussienne présente très en mode à l’époque à la Légion, retînt mon attention.
En quelques entretiens, avec des mots simples, X me fit découvrir son passé, son engagement politique affirmé, ainsi que l’ensemble de son parcours.
Cela me plut !
Enfin quelqu’un fier de ce qu’il avait fait en toute conscience, fier de son passé tel qu’il était et qui ne cherchait pas le refuge d’une soi-disant résistance inconnue.
Au fur et à mesure de sa “confession”, je retrouvais mon passé, le choix, qui, très tôt c’était imposé.
Lui comme nous avions choisi des camps différents certes ; mais nous avions choisi.
Colonel André G.
Officier parachutiste des Troupes de Marine,
(ancien du Ier Groupe de Commandos d’Afrique de la Ire Armée en février 1944)
recevant lors de sa prise de fonction en 1974, un officier d’infanterie ancien de la division "Charlemagne".
~
Pour X, P. 1982.
qui sait que finalement, tous les bons Français
finissent par se rassembler sur la France.
Amicalement. »
Yves G.
Officier de la 2e D.B., homme d’état, écrivain, ancien ministre.
Dédicace de l'un de ses livres.
En connaissance de cause, à un officier vétéran de la division “Charlemagne”.
~
Le 18 juillet 1985.
[...] et je salue la mémoire de tous ces combattants. [...] »
Un officier de la 2e D.B.,
proche des 12 condamnés de la division "Charlemagne",
dont nous respectons le vœu d'anonymat.
~
Septembre 1989.
[...] Ce "Bataillon des Condamnés", constitué par des hommes au courage physique indubitable qui a un moment de leur jeunesse ont mis leur peau au bout de leurs idées, est l'illustration flagrante du "malheur au vaincu" appliqué par une démocratie médiocre.
Pour moi qui fus à une époque de l’autre bord et qui, par la suite, ai combattu à côté de ces soldats français sur l’ordre de la nation et pour sa grandeur, je peux attester du courage de ces hommes de guerre.
Ernst Jünger a dit : « Le courage est le même des deux côtés de l’orage. »
Par expérience, je le savais déjà mais, de plus, en Indochine, en Algérie, ces hommes et les miens sont morts ensemble pour une cause éternelle : la France.
Je souhaite que les survivants de ces combattants hors du commun, de ces soldats d’infortune
trouvent dans ces pages la transcription la plus fidèle possible de leurs aventures. […]
Raymond MUELLE
Ex-chef de bataillon du 11e Choc.
Auteur de “Bataillon des condamnés” sur la B.I.L.O.M..
Parachuté en France occupée à la tête d’une section du Bataillon de Choc,
il participe aux combats de la Résistance, puis dans les Campagnes de la Libération
et d’Allemagne, d’Indochine et d’Algérie toujours comme officier parachutiste.
~
#
- Liens -
http://www.histoquiz-contemporain.com/Histoquiz/Lesdossiers/menus/menuvolontaires/menu.htm
En revanche, nous réprouvons l'exploitation équivoque d'échanges d'intervenants et vindicatifs du clavier
informatique.
~
http://www.histoquiz-contemporain.com/Histoquiz/Lesdossiers/menus/menuvolontaires/menu.htm
(Notre participation avait été sollicitée, communiquant sous le nom de "Frontest".
En revanche, nous réprouvons l'exploitation équivoque d'échanges d'intervenants et vindicatifs du clavier informatique.
Eccueil qui avait déjà motivé notre retrait volontaire du forum "HistoQuiz" le 20/02/2008)
~
Robert FORBES, Pour l'Europe, L'AEncre, 2005
~
Pierre Philippe LAMBERT - Gérard LE MAREC,
Organisations, Mouvements et Unités de l'Etat français, Vichy 1940-1944, Ed. J. Grancher 1992 ;
Partis et Mouvements de la Collaboration. Paris 1940-1944, Ed. J. Grancher 1993 ;
Les Français sous le casque allemand. Europe 1941-1945, Ed. J. Grancher 1994.
~
Institut National de l'Audiovisuel
La L.V.F.
http://www.ina.fr/economie-et-societe/vie-sociale/video/AFE86002656/reunion-de-la-lvf-au-vel-dhiv.
fr.html
Parisienne de Photographie saeml
L.V.F.
http://www.parisenimages.fr/fr/galerie-des-collections-selection.html?
lieu=&personnalite=&oeuvre=&mots=lvf&source=&noiretblanc=&couleur=&oeuvre=&debut=&fin=&exact=&star
Waffen-SS français
http://www.parisenimages.fr/fr/galerie-des-collections-selection.html?
mots=waffen+ss&lieu=&personnalite=&debut=&fin=&noiretblanc=1&couleur=1
~
Henri AMOUROUX, journaliste, historien, de l'Académie des Sciences Morales et Politiques 7/12/1978
http://www.ina.fr/art-et-culture/litterature/audio/PHD97019161/henri-amouroux.fr.html
Les intellectuels et la Collaboration 1/12/1978
Occupants occupés 3/11/1981 : http://www.ina.fr/art-et-culture/litterature/video/CPB91000032/occupants-occupes.fr.html
~
Henri AMOUROUX
La Grande Histoire des Français sous l'Occupation, Tome 1 à 8, Ed. Robert Laffont
La Grande Histoire des Français après l'Occupation, Tome 9 et 10, Ed. Robert Laffont
Acteur et spectateur, le peuple français de 1940 à 1944 : http://www.asmp.fr/travaux/communications/2003/amouroux.htm
Les tribunaux du peuple à la Libération : http://www.asmp.fr/travaux/communications/2006/amouroux.htm
La grande histoire des Français sous l’Occupation : http://www.lemilitarial.com/bibli/bibliographie/bibliographie-occupation.htm
~
Robert SLT, (vétéran de l’état-major de la 33e division de grenadiers de la Waffen-SS "Charlemagne")
La participation des volontaires français aux côtés des Allemands
pendant la guerre mondiale de 1939-1945, Service Historique de la Défense 1977, inédit ;
Die Beteiligung der Franzosischen Freiwilligen auf Deutscher
Seite im Weltkrieg, 1939-1945, Archives militaires allemandes, inédit ;
Historique de la division Charlemagne, inédit.
~
Pierre GIOLITTO, historien, docteur ès lettres :
Histoire de la Jeunesse sous Vichy, Ed. Perrin 1991 ;
Histoire de la Milice, Ed. Perrin 1997 ;
Volontaires français sous l'uniforme allemand, Ed. Perrin 1999.
~
Dominique VENNER, écrivain, historien :
Histoire de la Collaboration, Ed. Pygmalion 2000.
~
Krisztián BENE, historien, docteur en histoire (rédaction téléologique) :
La collaboration militaire française dans la seconde guerre mondiale, Ed. Codex 2012.
~
Manfred THORN
Der Fall Karlstein (Le cas Karlstein), AV-Production (Vidéo).
© Cercle des Descendants et amis des Vétérans français du Front de l’Est (1941-1945)
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